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Un GRAND atelier Maquillage-Transformation-Passing

10h30-20h00 Une journée entière consacrée au look. Le bien qu’il fait à l’extérieur se sent à l’intérieur...

lundi 13 septembre 2004

Grande première, celles qui le souhaitent pourront se changer sur place !

Lors des précédents ateliers « maquillage », nous étions bien conscientEs des contraintes imposées par le lieu. Le CGL est un lieu très utilisé et tandis que nous tenions notre atelier dans une salle, toutes les autres salles étaient occupées par des réunions.

Pour ce « grand » atelier, nous devrions disposer de l’intégralité (au moins d’une grande partie) du lieu. Nous pourrons donc l’aménager suivant nos besoins, avec l’obligation, en partant, de rendre le lieu dans son état origine. La contrepartie de cette liberté était d’organiser l’atelier un dimanche. La contrepartie de la contrepartie est que nous pourrons réserver une pièce pour les particpantEs qui souhaiteront se changer sur place.

Cette possibilité est importante pour un atelier "maquillage". Elle l’est encore plus quand on décide de traiter de toutes les questions liées au « look ». Et quand nous disons « traiter », nous ne parlons pas que de théorie, d’hypothèses ni de pseudo-conseils, inutilisables dans la vraie vie. Voilà pourquoi nous vous invitons à profiter de l’occasion - trop rare - de pouvoir nous présenter telles que nous le souhaiterions, de travailler notre image sur nous-mêmes, en appliquant concrètement les conseils et suggestions que nous y recueillerons.

Bien sûr, il va nous falloir surmonter une certaine appréhension. Je dis parfois que se maquiller en public c’est un peu comme faire un strip-tease. Lorsqu’on est à moitié maquillée, sans coiffure, torse nu, on est plus qu’à demi nuE. On a quitté une de nos carapaces et pas encore revêtu l’autre. Mais nous serons entre nous, nous serrant les coudes ! Et il n’y aucune raison que la complicité ne soit pas de la partie, comme elle le fut lors du précédent atelier maquillage. De toutes manières, le respect de l’autre sera une règle qui ne souffrira aucune entorse. Les bénévoles du Caritig y veilleront, comme elles l’ont toujours fait, dans toutes nos initiatives.

Et puis,lorsque nous passerons à la pratique, nous ne serons plus tout à fait des inconnuEs, les unEs pour les autres. Nous aurons commencé la journée par une animation de groupe : ré-agencer les locaux pour nous les approprier. L’initiative est ouverte à toutes ;-)

Avec Sophie à la barre, les deux heures de théories sur le maquillage ne risquent pas de ressembler à un monologue. J’adore quand elle lance des questions à la cantonade et que l’on joue à trouver la réponse. La bonne réponse est souvent tellement simple qu’on n’y avait pas pensé ;-) Ça détend de constater qu’on n’est pas la seule à être dans les choux... C’est une peu comme la question bête que pose notre voisine. On se la posait aussi, mais on hésitait à la poser... de peur de paraître bête ;-) Bref, on y apprend plein de choses et aussi, un peu, à se connaître.

Entre 13h et 14h, ce sera la courte pose déjeuner. Suivant notre "doctrine" rien n’est imposé. Celles et ceux qui le souhaitent pourront s’égailler aux quatre coins du quartier Charonne-Bastille, bien pourvu en cafés, brasseries et restaurants. Mais l’équipe des bénévoles du Caritig pique-niquera sur place et vous invite à faire de même. Nous prendrons donc toutes les dispositions pour que personne ne meure de faim ;-) Comme nous le ferons pour nous-mêmes, une participation aux frais sera demandée à celles et ceux qui déjeuneront sur place. Nous ferons les derniers ajustements le matin même, en fonction du nombre de personnes qui souhaiteront partager ce moment de convivialité. Je serais bien surprise que chacunE se retrouve à déjeuner dans son coin et que les nouvelles soient abandonnées à elles-mêmes. Ce n’est pas le « genre » de la maison ;-)

Pour entrer dans le vif du sujet, nous commencerons en douceur. Trois heures de pratique du maquillage devraient nous permettre, si j’ose dire, d’« enlever le haut », avec pudeur. Après tout l’impudeur n’est pas dans la nudité mais dans l’intention et le regard de l’autre. Avec les prothèses, nous enlèverons, pour ainsi dire, le bas. Mais il nous restera largement assez de temps pour revêtir notre costume amélioré par toutes nos connaissances fraîchement acquises et pour fixer notre image sur la pellicule numérique.

Et il sera déjà l’heure de nous séparer, sans oublier de ranger les locaux afin que les associations adhérentes du CGL retrouvent, lundi matin, l’espace accueillant auquel elles sont habituées.

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